//LE ROMANTISME di Ambra Carol Larotonda Classe Terza B Scuola Secondaria di Primo Grado

LE ROMANTISME di Ambra Carol Larotonda Classe Terza B Scuola Secondaria di Primo Grado

di | 2019-06-01T19:00:30+02:00 1-6-2019 19:00|Alboscuole|0 Commenti

Me voilà en dernière année du collège et j’avoue que je suis un peu agitée pour mon examen, mais j’ai confiance en mes capacités!

Le thème central de mon parcours interdisciplinaire est: le Romantisme.

On a étudié beaucoup d’auteurs en littérature, mais le Romantisme et ses écrivains sont ceux qui m’ont le plus fascinée, mais aussi par ce qui s’est passé au cours de ce siècle.

Victor Hugo est le plus emblématique écrivain français du siècle romantique.

Le Romantisme est un mouvement culturel et artistique né en Allemagne, puis répandu dans toute l’Europe.

Le Romantisme marque également un retour à la religion et au mysticisme. Cette nouvelle sensibilité romantique accompagne les grands bouleversements de l’histoire de la France au cours du siècle tels que: la chute de Napoléon, la révolte populaire de 1830 et les changements de gouvernement.

Les principaux aspects sont: le sentiment, l’importance de la religion, la revalorisation de l’imagination et des passions, la vision tragique de la vie et un nouvel intérêt pour l’art.

Victor Hugo, né à Besançon, est l’un des plus grands écrivains français connus pour ses poèmes (“Demain, dès l’aube...” 1856 dédié au souvenir de sa fille Léopoldine, morte noyée dans la Seine à l’âge de 19 ans) et ses romans (“Les Miserables” 1862, “Notre Dame de Paris” 1831).

En 1827, il fut considéré le père du Romantisme français.

Victor Hugo s’est lancé avec passion dans la vie, écrivant et peignant.

Au cours de sa vie, toutefois, il a eu de nombreux problèmes: l’infidélité de son épouse, la mort de quatre de ses cinq enfants, en particulier celle de Léopoldine, qui l’a conduit à une crise de dix ans.

Plus tard, il s’est consacré à la politique et s’est opposé à la peine de mort.

En 1852, après le coup d’État de Napoléon III, il s’exile en raison du dégoût contre le nouveau régime.

En 1870, après la chute de Napoléon, il revint à Paris où il mourut en 1885.